Les projets, îlot par îlot
L’écoquartier Daudet se compose d’espaces publics (voiries, square, placette, promenade…) et d’espaces privés : les îlots. Ce sont les parcelles dédiées aux projets de constructions de logements qui sont menés par différents opérateurs (bailleurs ou promoteurs). Les projets sont détaillés, ci-après, îlot par îlot, selon leur état d’avancement.
Phase 3 – 2019 / 2020

Îlot A1

Îlot A2

Îlot A3
Une cadre méthodologique spécifique à l’écoquartier
Un projet d’ampleur, comme celui de l’écoquartier Daudet, se structure en deux grandes étapes. La première est celle de la constitution de la Zac (Zone d’Aménagement Concertée), à travers laquelle la ville, alors maîtrise d’ouvrage, fixe les grands enjeux et objectifs pour le futur quartier. La deuxième étape est celle où les opérateurs, bailleurs et promoteurs, viennent construire.
Une méthodologie de travail spécifique au projet d’écoquartier Daudet a été mise en place par la maîtrise d’ouvrage. Elle permet d’assurer la réalisation effective des objectifs fixés sur le périmètre de la ZAC. En effet, leur traduction concrète s’applique à la fois sur le domaine public et sur le futur domaine privé (îlots). Il est alors nécessaire que les opérateurs, s’inscrivent dans les ambitions du projet urbain, qu’ils en comprennent et respectent les principes, voire, qu’ils les amplifient. Ainsi, différents documents, réglementaires ou contractuels, permettent d’exposer clairement le cadre dans lequel les opérateurs devront élaborer leur projet, tout en laissant des marges de manœuvre suffisantes pour introduire de la diversité dans la nature des réponses qu’ils apporteront aux enjeux de l’ÉcoQuartier.
Les deux principaux documents cadre de cette méthodologie sont le Cahier des Prescriptions Architecturales, Urbaines, Paysagères et Environnementales (CPAUPE) et le Tableau d’Engagement de Développement Durable (TEDD)
La particularité de ce tableau est d’y avoir ajouté des actions dites « optionnelles » afin d’encourager les opérateurs à aller encore plus loin en terme de développement durable. Parmi un total de 34 actions « optionnelles », elles aussi accompagnées d’indicateurs qualitatifs ou quantitatifs, chaque opérateur choisit, pour son projet, un minimum de 10 actions à réaliser. La maîtrise d’ouvrage est, quant à elle, vigilante à ce que, sur la totalité des opérations de la Zac, l’ensemble des 34 actions optionnelles soient traitées au moins une fois.